Pratique du Zen Soto à Brive la Gaillarde
Le Dojo de Brive a pour référent Taiun Jean-Pierre Faure, abbé fondateur du monastère de Kanshoji, à La Coquille (Dordogne).
www.kanshoji.org
dimanche 25 décembre 2011
mercredi 21 décembre 2011
Inauguration Périgueux
11h00 – Cérémonie célébrée par Taiun Faure, abbé du monastère zen Kanshoji
11h30 - Présentation du boudhisme zen Sôtô
12h00 - Apéritif
Centre bouddhiste zen
9 rue Salinière
24 000 PERIGUEUX
Tél : 05.53.52.06.35
samedi 3 décembre 2011
Calendrier décembre 2011
Parking gratuit sur la place Thiers en soirée (à partir de 19 heures) et parking souterrain Thiers, gratuit le samedi matin.
Samedi 3 décembre: 9h30
Mercredi 7 décembre: 7 heures
Jeudi 8 décembre: 19h30. " Rohatsu Zazen " : Commémoration de l’éveil du Bouddha. Le zazen sera suivi d’un repas (buffet) pris en commun. Inscription préalable demandée.
Samedi 10 décembre: 9h30
Mercredi 14 décembre: 7 heures
Jeudi 15 décembre: 19h30
Samedi 17 décembre: 9h30
Mercredi 21 décembre: 7 heures
Jeudi 22 décembre: 19h30
Samedi 24 décembre: 9h30
Mercredi 28 décembre: 7 heures
Jeudi 29 décembre: 19h30
Samedi 31 décembre: 9h30.
Pour les personnes souhaitant venir découvrir la pratique, la prise de rendez-vous est impérative (par mail: dojo.zen.brive@gmail.com ou par téléphone: 09 61 48 15 89 en soirée), afin de vous accueillir au préalable, environ 30 minutes avant la séance, pour des explications sur le comportement dans le dojo et sur la posture.
Séance d'essai gratuite et sans aucun engagement. Prêt de matériel possible.
Tarifs: 5 € par séance ou 25 € pour tout le mois. Tarif réduit possible, sur simple demande, pour les étudiants, demandeurs d'emploi, retraités...
Dans tous les cas, arrivez 15 minutes avant la séance, munissez vous d’une tenue confortable, de préférence de couleur sombre, permettant de croiser les jambes et de respirer aisément.
dimanche 27 novembre 2011
Sagesses Bouddhistes
Si vous avez manqué "Sagesses Bouddhiste" de ce matin sur France 2, retrouvez ici:
http://programmes.france2.fr/les-chemins-de-la-foi/index.php?page=article&numsite=42&id_rubrique=44&id_article=28088
le lien de l'émission dont l'invité était Taiun Jean-Pierre FAURE, supérieur du monastère de Kanshoji et référent de notre dojo, que nous avons eu le plaisir d'entendre en conférence sur Brive la semaine dernière.
jeudi 24 novembre 2011
Seulement s’asseoir
Kannon: Symbolise la compassion. |
les honneurs, les beaux vêtements et le confort,
mais la satisfaction de ces plaisirs passagers
n’amène pas la paix véritable.
effacer toute tension inutile, toute intention
Se concentrer d’un seul esprit.
donner la liberté à toute chose,
voir de nos yeux de profonde sagesse intérieure.
la conscience s’ouvre à l’infini,
on accède à la plus haute dimension de l’être humain,
à l’existence pure et à sa paix profonde.
vendredi 11 novembre 2011
Conférence
Finalement, est-ce la bonne question à se poser ? La réponse est dans le vent….
du maître zen Taiun J-P. Faure
Mercredi 23 novembre 2011 à 20h30
Salle Dumazaud
22 rue de Selves – 19100 Brive
(derrière la grande poste)
dojo.zen.brive@gmail.com
mercredi 2 novembre 2011
Calendrier Novembre 2011
Parking gratuit sur la place Thiers en soirée (à partir de 19 heures) et parking souterrain Thiers, gratuit le samedi matin.
Jeudi 3 novembre: 19h30
Samedi 5 novembre: journée découverte dirigée par Valérie Yasho Guèneau, nonne zen, au dojo (voir affiche ci-dessous). A partir de 14 heures 30. Attention: pas de zazen le samedi matin.
Dimanche 6 novembre: Zazen à 10 heures, suivi d’un temps d’échanges avec notre invitée.
Jeudi 10 novembre: 19h30
Samedi 12 novembre: 9h30
Jeudi 17 novembre: 19h30
Dimanche 20 novembre: 9h45
Mercredi 23 novembre: 20h30, Conférence salle Dumazaud (derrière la poste principale) par Taiun Jean-Pierre FAURE, Maître Zen: Le sens de la vie selon le Bouddhisme.
Ouvert à tous. Entrée 5 €.
Jeudi 24 novembre: 19h 30
Samedi 26 novembre: 9h 30.
Pour les personnes souhaitant venir découvrir la pratique, la prise de rendez-vous est impérative (par mail: dojo.zen.brive@gmail.com ou par téléphone: 09 61 48 15 89 en soirée), afin de vous accueillir au préalable, environ 30 minutes avant la séance, pour des explications sur le comportement dans le dojo et sur la posture.
Séance d'essai gratuite et sans aucun engagement. Prêt de matériel possible.
Tarifs: 5 € par séance ou 25 € pour tout le mois. Tarif réduit possible, sur simple demande, pour les étudiants, demandeurs d'emploi, retraités...
Dans tous les cas, arrivez 15 minutes avant la séance, munissez vous d’une tenue confortable, de préférence de couleur sombre, permettant de croiser les jambes et de respirer aisément.
mercredi 26 octobre 2011
Après-midi découverte:
à la méditation Zen Samedi 5 novembre 2011
à 14h30:Dojo Bouddhiste Zen, 14 rue de Lestang - 19100 Brive
Informations au : 09.61.48.15.89 (en soirée)
ou par email : dojo.zen.brive@gmail.com
Entrée : 5 €
Programme:
14h30 - Thé d'accueil
15h00 - Film
15h30 - Initiation à la méditation Zen, suivie de
Questions – Réponses
dimanche 23 octobre 2011
Les arts martiaux et le zen ont en commun la création et la concentration de l’énergie
En occident, ces Arts Martiaux sont devenus un sport, une technique, mais sans l’esprit de la Voie.
L’intuition et l’action doivent jaillir en même temps. Il ne peut y avoir de pensée dans la pratique du Budo. Il n’y a pas une seule seconde pour penser. Quand on agit, l’intention et l’action doivent être simultanées. Si l’on se dit “Le monstre est là, comment le tuer ?“ si l’on hésite, le cerveau entre en mouvement. Or le cerveau frontal, le thalamus et l’action doivent être identiques au même instant. “Le reflet de la lune dans la rivière est toujours en mouvement. Cependant la lune existe et ne s’en va pas ; elle reste mais elle bouge”. En Zazen, il en est de même. C’est la conscience “Hishiryo”.
Le secret des Arts Martiaux, disait toujours Kodo Sawaki, c’est qu’il n’y a ni victoire ni défaite. On ne peut ni vaincre ni être vaincu. Le sport et les Arts Martiaux sont différents. Dans le sport, il y a le temps. Dans les Arts Martiaux, il n’y a que l’instant. Il en est de même pendant zazen.
par Maître Deshimaru
dimanche 9 octobre 2011
Maître Ejô
Si vous n’entretenez pas une pensée, celle-ci ne reviendra pas d’elle-même. Si vous vous abandonnez à l’expiration et laissez votre inspiration vous remplir en un harmonieux va et vient, il ne reste plus qu’un zafu sous le ciel vide, le poids d’une flamme.
dimanche 2 octobre 2011
Calendrier Octobre 2011
Samedi 1er octobre: 9h30
Jeudi 6 octobre: 19h30
Samedi 8 octobre : Ateliers du Dharma à Kanshoji (voir plus bas). Pas de zazen au dojo de Brive.
Jeudi 13 octobre: 19h30
Samedi 15 octobre: 9h30
Jeudi 20 octobre: 19h30
Samedi 22 octobre: 9h30 au 14 rue Lestang
Jeudi 27 octobre: 19h30 au 14 rue Lestang
Samedi 29 octobre: 9h30 au 14 rue Lestang
Dans tous les cas, arrivez 15 minutes avant la séance, munissez vous d’une tenue confortable, de préférence de couleur sombre, permettant de croiser les jambes et de respirer aisément
Pensez à apporter votre zafu (coussin de médiation) ainsi qu' un tapis de sol épais ou une couverture.
Pour les personnes souhaitant venir découvrir la pratique, la prise de rendez-vous est impérative (par mail: dojo.zen.brive@gmail.com ou par téléphone: 09 61 48 15 89 en soirée), afin de vous accueillir au préalable, environ 30 minutes avant la séance, pour des explications sur le comportement dans le dojo et sur la posture.
Séance d'essai gratuite et sans aucun engagement. Prêt de matériel possible.
Tarifs: 5 € par séance ou 25 € pour tout le mois. Tarif réduit possible, sur simple demande, pour les étudiants, demandeurs d'emploi, retraités...
samedi 24 septembre 2011
Biographie
Taisen Deshimaru naît en 1914 à Saga (Japon), dans une ancienne famille de samouraïs. Sa mère est une bouddhiste fervente, son père - homme d'affaires - le destine à une carrière dans le commerce. Déchiré entre l'idéal religieux de sa mère et le matérialisme de son père, il souhaite résoudre ce conflit et réconcilier ces deux mondes inconciliables.
Une quête spirituelle de plusieurs années le mène auprès de Maître Kodo Sawaki. Celui-ci est respecté et admiré dans tout le Japon. Deshimaru devient son disciple. Kodo Sawaki lui refuse l’ordination et lui demande de vivre socialement et de pratiquer le zazen.
Taisen Deshimaru mène donc une vie sociale et familiale, tout en continuant la pratique intense de zazen avec son maître. Ainsi, peu à peu, il résout la contradiction entre matériel et spirituel qui l'avait tourmentée dans sa jeunesse.
Peu avant sa mort, Kodo Sawaki l'ordonne moine et lui demande de porter le Zen, zazen, en Occident.
Deux ans plus tard, en 1967, il confie à son fils la responsabilité de la famille, règle ses affaires, et prend le Transsibérien pour la France, sur l'invitation d'un groupe macrobiotique, il est sans argent, et ne connaît pas un mot de français. Il souhaite y apporter la pratique du Zen, comme le lui a demandé son maître, Kodo Sawaki à la fin de sa vie.
L'une des caractéristiques de zazen réside dans son adaptabilité à l'environnement dans lequel il s'implante.
Taisen Deshimaru habite à Paris dans l'arrière-boutique d'un magasin diététique, il pratique zazen tous les jours, vit en donnant des massages shiatsu et tient des conférences. Soutenu par sa foi profonde en la pratique de zazen et en la transmission de son maître, il sait rendre l'enseignement des grands maîtres zen accessible à l'esprit occidental. Impressionnées par zazen et par la personnalité de Taisen Deshimaru, des personnes en nombre croissant pratiquent avec lui. Il ouvre un dojo, dirige les premières sessions et commence à donner des ordinations de bodhisattva et de moine. Son activité ne se limite pas à l'enseignement dans le dojo. Il a un profond désir d'aider l'homme dans la civilisation actuelle, dont il perçoit le déséquilibre, et de lui faire réaliser par zazen une compréhension plus approfondie de lui-même et de sa vie. Avec l'aide de ses disciples, devenus de plus en plus nombreux, il crée plus de cent dojos en Europe. Il fonde le temple de le Gendronnière, le plus grand dojo Zen en Occident. En même temps, il éduque ses disciples. Son enseignement est très concret et enraciné dans la vie quotidienne.
Dans ses dernières années, de plus en plus conscient de l'urgence d'aider les hommes dans le déséquilibre du monde moderne,Taisen Deshimaru intensifie ses activités, travaillant inlassablement, sans prendre de repos. Il disait alors : « Ma vie sera peut-être brève, mais au moins elle n'aura pas été égoïste. »
Il tombe malade au début de l'année 1982, ce qui ne l'empêche pas de continuer zazen chaque jour avec ses disciples. Au printemps, il part pour le Japon. Taisen Deshimaru y meurt le 30 avril. Ses dernières paroles à ses disciples sont : « Please, continue zazen. »
(biographie résumée par Shu Kai à partir de différents articles)
samedi 10 septembre 2011
Kusen
« La Voie, nous dit très clairement Maître Dôgen, n’est autre que l’harmonie du corps et de l’esprit. »
Cette harmonie, vous la trouvez en tournant votre regard vers l’intérieur.
Il y a harmonie entre le corps et l’esprit, il y a aussi harmonie entre soi et le reste de l’univers, mais la racine, c’est harmoniser le corps et l’esprit.
L’harmonie est brisée quand il y a séparation. Ce qui nous sépare, ce sont des pensées qui n’ont rien à voir avec la situation, des pensées qui n’acceptent pas la situation, des pensées qui veulent contrôler la situation, des pensées liées à l’idée du « moi » et du « mien ». On appelle cela des illusions : des interprétations fausses, distordues par l’idée du moi et du mien. Le moi, l’illusion ne veut pas mourir, elle est maintenue par une volonté personnelle : « Je veux ça. Je ne veux pas ça. »
Donc, les personnes qui courent, cherchent à l’extérieur, détruisent, par cette attitude même, l’harmonie du corps et de l’esprit. C’est pour cela qu’Obaku dit : « Plus vous chercherez, plus vous vous perdrez. »
La pensée juste est en accord avec la situation, elle provient de l’harmonie entre soi et la situation.
Dôgen, ainsi que tous les bouddhas et les patriarches, dit qu’une pratique gouvernée par le moi, est ce qu’il y a de pire. Quelqu’un qui ne pense qu’à lui, à être plus heureux, à recevoir plus d’amour, à avoir plus de reconnaissance… cette personne est à l’opposé de la pratique du Bouddha.
Quand le corps et l’esprit sont en unité, nous sommes en unité avec le reste de l’univers, nous épousons tout l’univers, rien ne nous sépare de l’univers, nous n’agissons que pour l’univers, naturellement, inconsciemment, automatiquement. Harmonisez le corps et l’esprit. La Voie n’est qu’une question d’harmonie. Harmonisez le bas du dos avec le haut du dos, le devant et le derrière, la droite et la gauche. Harmonisez la respiration et l’état d’esprit. Harmonisez la posture et la respiration. Harmonisez la posture et l’état d’esprit. Chaque instruction est en soi la Voie. Les maîtres, dans leur grande compassion, dans leur grande bonté, donnent des instructions à la portée de tous, il suffit juste de les pratiquer.
S’écraser les os, s’écraser la moelle, ce n’est pas bien difficile. Mais maintenir la résolution de l’esprit, ça c’est difficile. Harmoniser le corps et l’esprit en toute situation, dans les pires situations, au moment de mourir, quand on est malade, quand quelqu’un nous quitte… Cela demande une extrême délicatesse. Ce n’est pas possible de le faire si l’on est agité. Ce n’est pas possible de le réaliser si l’on est en colère. Le réaliser, c’est précisément mettre un terme à l’agitation. Réaliser, c’est arrêter la colère, c’est mettre un terme à tous les poisons de l’esprit.
Harmonisez le corps et l’esprit, dans la cérémonie, quand vous chantez les soutras, quand vous mangez la genmai (soupe de riz traditionnelle). C’est à partir de cette harmonie du corps et de l’esprit que l’harmonie existe partout. Donc laissez tomber les interprétations. Laissez tomber vos points de vue parano. Laissez tomber vos peurs, vos peurs injustifiées. Seulement maintenez l’harmonie entre vous et l’univers, sans séparation.
Certaines personnes critiquent le zen : « Pourquoi portez-vous tant d’attention à votre façon de manger ? Pourquoi faites-vous si attention aux détails ? » C’est que maintenir le corps et l’esprit en unité est d’une grande difficulté, cela demande toute notre attention. Maintenir l’harmonie entre toutes les cellules, entre tous les organes, entre toutes les existences, demande de faire les choses qui nous incombent de tout notre cœur, comme elles doivent être faites, sans rien en attendre pour soi.
Kusen de Taiun J-P Faure.
Dimanche 18 mars 2007 - Zazen de 06h30
samedi 3 septembre 2011
Actualités d'automne
d'automne
Je m'assieds
Matsuo Bashô (1644-1694)
Sesshin dirigée par Hosetsu Laure Scemama au Monastère bouddhiste zen Kanshoji en Dordogne.
Inscriptions auprès du Centre Zen de Limoges (Tel.: 05.55.32.81.05 & 05.55.32.41.60) ou par email : kanshoji@wanadoo.fr
Atelier du Dharma : Les quatre vœux du Bodhisattva
Dirigé par Taiun JP Faure au Monastère Kanshoji, les ateliers associent l'enseignement à la mise en pratique de celui-ci.
Inscriptions sur le site de Kanshoji.
lundi 29 août 2011
Programme septembre 2011
Jeudi 1er septembre: 19h30
Jeudi 8 septembre: 19 h précises zazen au 31, Av Édouard Herriot (arriver 15 minutes avant). Puis à 19 heures 45: rendez-vous au 14 rue Lestang à Brive pour la présentation de notre futur local dédié à la pratique.
Samedi 10 septembre: 9h30
Jeudi 15 septembre 19h30
Samedi 17 septembre: 9h30
Jeudi 22 septembre: 19h30
Samedi 24 septembre: 9h30
Jeudi 29 septembre: 19h30
Samedi 1er Octobre: 9h30 au nouveau local….si les conditions le permettent!
Dans tous les cas, arrivez 15 minutes avant la séance, munissez vous d’une tenue confortable, de préférence de couleur sombre, permettant de croiser les jambes et de respirer aisément
Pensez à apporter votre zafu (coussin de médiation) ainsi qu' un tapis de sol épais ou une couverture.
Pour les personnes souhaitant venir découvrir la pratique, la prise de rendez-vous est impérative (par mail: dojo.zen.brive@gmail.com ou par téléphone: 09 61 48 15 89 en soirée), afin de vous accueillir au préalable, environ 30 minutes avant la séance, pour des explications sur le comportement dans le dojo et sur la posture.
Séance d'essai gratuite et sans aucun engagement. Prêt de matériel possible.
Nouveaux tarifs: 5 € par séance ou 25 € pour tout le mois. Tarif réduit possible, sur simple demande, pour les étudiants, demandeurs d'emploi, retraités...
dimanche 21 août 2011
La pratique du Bodhisattva
mercredi 6 juillet 2011
Programme juillet et août 2011
Sauf indication contraire, toutes les séances auront lieu dans notre local: 31, Av Édouard Herriot à Brive (cabinet infirmier sur l'ancienne avenue de Toulouse, en face du restaurant le Marrakech).
Jeudi 7 juillet: 19h30.
Samedi 9 juillet: 9h30 chez Évelyne (vous recevrez plus de détails et un itinéraire par mail). Rendez vous pour le covoiturage à 9 heures devant le dojo.
Semaine du 11 au 17 juillet: Attention pas de zazen, ni le jeudi, ni le samedi.
Par contre: zazen le mardi 12 juillet: à 19h30 au dojo.
Jeudi 21 juillet: 19h30.
Samedi 23 juillet: 9h30.
Jeudi 28 juillet: 19h30.
Attention pas de zazen le samedi 30 juillet.
Jeudi 4 août: 19h30.
Samedi 6 août: 9h30.
Jeudi 11 août: Vacances pas de zazen au dojo.
Samedi 13 août: Vacances pas de zazen au dojo.
Semaine du 13 au 21 août: Camp d’été et Sesshin à Kanshoji (http://www.kanshoji.org/2010/12/13-au-21-aout-2011-camp-dete/): Attention pas de zazen au dojo de Brive.
Jeudi 25 août: 19h30.
Samedi 27 août: 9h30.
Dans tous les cas, arrivez 15 minutes avant la séance, munissez vous d’une tenue confortable, de préférence de couleur sombre, permettant de croiser les jambes et de respirer aisément
Pensez à apporter votre zafu (coussin de médiation) ainsi qu' un tapis de sol épais ou une couverture.
Pour les personnes souhaitant venir découvrir la pratique, la prise de rendez-vous est impérative (par mail: dojo.zen.brive@gmail.com ou par téléphone: 09 61 48 15 89 en soirée), afin de vous accueillir au préalable, environ 30 minutes avant la séance, pour des explications sur le comportement dans le dojo et sur la posture.
Séance d'essai gratuite et sans aucun engagement. Prêt de matériel possible.
Tarifs 2011: 5 € par séance ou 20 € pour tout le mois. Tarif réduit possible, sur simple demande, pour les étudiants, demandeurs d'emploi, retraités...
lundi 4 juillet 2011
Entretien avec Taisen DESHIMARU, suite et fin...
N. C. : Quelle différence y a-t-il entre le raja yoga et le zazen ? C’estfinalement toujours de la méditation, jambes croisées en lotus ou demi-lotus !
T. D. : La différence ? C’est le coussin ! (rire). Ce n’est pas une plaisanterie. C’est le zafu, le coussin rond que l’on met sous ses fesses ! Ce simple coussin permet d’équilibrer complètement la posture, de l’ancrer dans le sol, les deux genoux touchent la terre, le coussin donne tout son sens à la beauté de l’assise. Essayez de croiser les jambes en lotus sans coussin et vous verrez la différence. Il y a toujours un genou qui se soulève, même légèrement, et toute la posture n’est pas aussi belle. Ni aussi efficace.
N. C. : Oui. Cette invention du coussin remonte d’ailleurs au Bouddha qui demanda un jour à un paysan qui fauchait son champ de lui couper de l’herbe sala, une herbe très souple, pour s’en confectionner un siège permettant d’équilibrer l’assise.
T. D. : Vrai. Vrai (True. True). Bouddha a trouvé la voie du milieu. Il avait vécu une vie de prince trop molle, puis une vie d’ascète trop exacerbée, il comprit que seul un juste équilibre permettait de trouver sa vérité propre. Ce n’était pas un hystérique comme beaucoup de spiritualistes !
N. C. : Un instrument de musique doit être justement accordé pour faire de la musique, l’histoire est fameuse…
T. D. : Oui. Et notre corps est comme un instrument de musique qu’il faut savoir accorder pour bien jouer la vie. Pour apprendre à « négocier la Voie », dit-on dans le zen.
N. C. : Quels sont les grands reproches que vous faites à nos contemporains ?
T. D. : D’être trop faibles (too weak).
La posture de méditation peut les rendre forts. C’est la civilisation qui les rend faibles, il y a trop de tout, trop à manger, trop de bruit, trop de publicité, trop d’images, trop de sexe ; trop, trop. Tout le monde est intoxiqué, hystérique, la voie naturelle est oubliée…
N. C. : Comment voyez-vous l’avenir ?
T. D. : Beaucoup de destructions, toujours davantage de pollutions. L’espèce humaine ne pourra se sauver que par la sagesse. La sagesse doit s’élever de l’humanité.
N. C. : Le simple fait de pratiquer zazen peut- if aider à réaliser cela ?
T. D. : Sur le plan personnel, certainement. Sur le plan collectif, le grain de sable de la sagesse peut enrayer la machine emballée. Peut- être… (Maybe…) Il faut le croire, fortement (strongly), il faut pratiquer, fortement. Une posture juste influence le monde entier… (silence) …comme un sourire influence tout le monde autour de vous. Il y a une grande différence entre les réactions suscitées par un sourire ou celles déclenchées par une insulte. Faire gassho (saluer les mains jointes) est mieux que dresser le poing ! Et une main ouverte saisit plus que qu’un poing fermé…
N. C. : Vous êtes donc confiant ?
T. D. : A la fin (at to the last) toutes les bulles d’air à la surface d’un cours d’eau font « plop » et reviennent se fondre à ce cours d’eau. Alors… ce n’est pas la peine de se poser trop de questions : comment va finir l’humanité, comment vais-je mourir, combien de temps mes enfants vont-ils vivre, comment vais-je survivre, quand est-ce que je vais rencontrer la femme de ma vie, quand est-ce qu’un homme va coucher avec moi… Quand, comment, pourquoi, on se torture sans cesse avec des questions inutiles. L’important est l’action : ici et maintenant, agir. La réponse aux questions vient toujours assez vite. La vie est comme une ligne faite de points. Chaque instant est un point. Plus chaque instant est vécu fort, plus les points, et donc la ligne, sont forts. Il faut tracer sa vie, fortement. La posture de méditation aide, c’est tout. Elle aide à guérir le corps et l’esprit.
N. C. : Vous dites aussi souvent que faire zazen, c’est entrer dans son cercueil. Qu’ est-ce que cela veut dire ?
T. D. : C’est votre koan ! (rire tonitruant).
N. C. : Je peux y répondre ?
T. D. : Certainement.
N. C. : Voilà. Dans la posture on retrouve un état qui existe avant notre naissance et après notre mort. On ressent un vide qui préexiste à notre existence. Si on devient vide (ku) on rejoint l’énergie primordiale (ki). C’est ça ?
T. D. : Comme vous voulez ! N’oubliez jamais cette phrase de l’Hannya Haramita Shingyo(le sutra de la Grande Sagesse que l’on chante souvent dans les dojos zen, à la fin des zazen du matin) :
Ku soku ze shiki
Shiki soku ze ku
Le vide crée le phénomène
Le phénomène créé le vide.
Il faut voir au-delà de la dualité. Au-delà du par-delà…
N. C. : Sensei, vous dites souvent que les gens sont trop égoïstes. Comment remédier à cela ?
T. D. : Par la pratique de la méditation, par le zazen, les bonnos (illusions, travers, défauts) décroissent naturellement, inconsciemment, automatiquement. Regardez-vous : avant, vous ne pensiez qu’à vous, maintenant vous faites des livres pour les autres (rires) ! Les Occidentaux ont cru jusqu’à maintenant que le zen est une philosophie intellectuelle. Or, au contraire, pratiquer le zen consiste à penser avec son corps, c’est unir le corps et l’esprit, c’est une sagesse du corps. Ch’an, zen, dhyana, zazen, tous ces mots définissent la méditation qui est pratique de tout le corps. Ainsi peut-on équilibrer les deux cerveaux. L’être moderne est gravement malade : la pratique de la méditation peut l’aider à devenir sain. Ce n’est pas la peine de s’enfuir dans une grotte dans la montagne pour cela. La posture elle-même est la grotte et la montagne. Où que vous soyez existe la vraie liberté, celle du poisson dans l’eau ou de l’oiseau dans le ciel. Mais on peut amener un cheval à la rivière, c’est à lui de boire… Transformer son karma reste l’affaire de chacun !
Entretien avec Taisen Deshimaru, propos recueillis par Marc de Smedt
mercredi 29 juin 2011
POSTURE D'EVEIL
jeudi 23 juin 2011
Entretien avec Taisen DESHIMARU.
dimanche 19 juin 2011
Les trois sceaux du bouddhisme
« Si l’on peut renoncer à une chose aussi petite que le moi, alors on peut saisir une chose aussi vaste que l’univers » Sôjô - 384-414).
Mais le zen ne se contente pas de reconnaître ces lois sur un plan conceptuel. Il insiste sur la nécessité de les expérimenter concrètement !
vendredi 10 juin 2011
Extrait du FUKANZAZENGI de DOGEN : suite et fin.
7. Asseyez-vous bien droit, dans une posture correcte, ni penché à gauche, ni penché à droite, ni en avant, ni en arrière. Assurez-vous que vos oreilles sont dans le même plan que vos épaules et que votre nez se trouve sur la même ligne verticale que votre nombril. Placez la langue en avant contre le palais; la bouche est fermée et les dents se touchent. Les yeux doivent rester toujours ouverts et vous devez respirez doucement par le nez. Quand vous avez pris la posture correcte, respirez profondément une fois, inspirez et expirez. Inclinez votre corps de droite à gauche; et immobilisez-vous dans une position assise stable. Pensez "sans penser".
8. Comment? En utilisant le non-penser? C'est aller au-delà de la pensée, cela en soi est l'activité essentielle du zazen. Le zazen dont je fais mention n'est pas l'apprentissage de la méditation, mais le Dharma qui procure la paix et le bonheur, la pratique et la réalisation d'un éveil parfait. Zazen est l'expression de l'ultime réalité. Les pièges et les filets ne peuvent pas le capturer. Une fois que vous avez saisi son essence, vous êtes comparables au dragon quand il entre dans l'eau et analogue au tigre quand il s'enfonce dans la montagne. A l'instant où on pratique zazen et que l'on rejette toute distraction et laisse aller tant le mental que le physique, le vrai Dharma se manifeste.
9. Quand vous vous relevez, bougez doucement et sans vous hâter, restez calmes mais volontaires. Evitez d'être brusques. Quand on se réfère au temps jadis, on constate que la transcendance de l'éveil et du non-éveil, que mourir en position assise ou debout, ont toujours découlés de la fermeté du zazen pratiqué.
10. L'ouverture à l'éveil occasionnée par un doigt, une bannière, une aiguille, un maillet, la réalisation grâce à un chasse-mouches, un poing un bâton, un cri, tout cela ne peut être saisi pleinement ni par la pensée rationnelle, ni par l'exercice de pouvoirs surnaturels. C'est au-delà de ce que l'homme peut entendre et voir, un principe qui précède les connaissances et les perceptions.
11. Il importe peu que l'on soit ou non intelligent. Il n'y a pas de distinction entre un sot et un quelqu'un qui ne l'est pas. Quand on concentre son effort d'un seul esprit, cela en soit est négocier la voie. La pratique et la réalisation sont pures par nature. Avancer sur la voie est une affaire de persévérance.
12. Ce monde et d'autres, en Inde ou en Chine, respectent dans l'ensemble le sceau de Bouddha. Ce qui prime dans cette école est la dévotion à la méditation assise tout simplement, s'asseoir immobile dans un engagement total. Il est dit qu'il y a autant d'âmes que d'hommes, tous négocient la voie par la pratique de zazen. Pourquoi abandonner les privilèges du fils de maison pour errer sur les routes poussiéreuses? Un seul faux pas, et vous vous écartez du chemin qui est tout tracé devant vous.
13. Vous avez cette chance unique de prendre une forme humaine; ne perdez pas votre temps. Vous apporterez votre contribution à l'ouvrage de la voie du Bouddha. Qui prendrait un plaisir vain à la vue de l'étincelle qui jaillit du silex? Forme et substance sont comme la rosée sur l'herbe et la destinée semblable à un éclair. Ells s'évanouissent toutes en un instant.
14. Je vous en prie, honorés disciples du zen, accoutumés à palper l'éléphant dans l'obscurité, ne craignez pas le vrai dragon. Consacrez vos énergies à la voie qui indique l'absolu. Respectez l'homme qui a réalisé et qui se situe au-delà des actions des hommes. Suppléez à la succession légitime du satori des Patriarches. Adoptez cette conduite et vous serez comme eux. Votre salle au trésor se donnera à vous et vous en userez comme bon vous semblera.
mardi 7 juin 2011
Gratitude
samedi 4 juin 2011
L'écho de l'ego
vide celui-là, risque d'entrer en collision avec lui. Même un homme au
tempérament irritable garderait son sang-froid.
Supposons maintenant qu'il y ait eu quelqu'un à bord du second
bateau. L'occupant du premier bateau lui crierait tout de suite de
dégager la voie. S'il n'obtenait pas de réponse, même au bout de deux
ou trois interpellations, cela finirait inévitablement par une bordée
d'injures.
Dans le premier cas, rien ne se passe, dans le second, il se produit une réaction de colère. Tout cela parce que, dans le premier cas, le bateau est vide et que, dans le second, il est occupé.
Il en va de même pour l’homme. Si seulement l’homme pouvait suivre le cours de la vie tel un esquif vide, qui donc serait en mesure de l'insulter ?
Tchouang Tseu - philosophe taoïste chinois IVème siècle avant J-C
lundi 30 mai 2011
Extrait du FUKANZAZENGI de Maitre DOGEN
dimanche 29 mai 2011
Séances de juin.
Jeudi 2 juin: zazen à 19 heures 30.
Samedi 4 juin: zazen à 9h30.
Jeudi 9 juin: zazen à 19 heures 30.
Samedi 11 juin: zazen à 9h30.
Jeudi 16 juin: zazen à 19 heures 30.
Vendredi 17 juin: Assemblée Générale à 19 heures au dojo + "repas d'été" du groupe de Brive à 20 heures!
Samedi 18 juin: zazen à 9h30.
Jeudi 23 juin: zazen à 19 heures 30.
Samedi 25 juin: zazen à 9h30.
Jeudi 30 juin: zazen à 19 heures 30.
Dans tous les cas, arrivez 15 minutes avant la séance, munissez vous d’une tenue confortable, de préférence de couleur sombre, permettant de croiser les jambes et de respirer aisément
Pensez à apporter votre zafu (coussin de médiation) ainsi qu' un tapis de sol épais ou une couverture.
Pour les personnes souhaitant venir découvrir la pratique, la prise de rendez-vous est impérative (par mail: dojo.zen.brive@gmail.com ou par téléphone: 09 61 48 15 89 en soirée), afin de vous accueillir au préalable, environ 30 minutes avant la séance, pour des explications sur le comportement dans le dojo et sur la posture.
Séance d'essai gratuite et sans aucun engagement. Prêt de matériel possible.
Tarifs 2011: 5 € par séance ou 20 € pour tout le mois. Tarif réduit possible, sur simple demande, pour les étudiants, demandeurs d'emploi, retraités...
samedi 28 mai 2011
Règles du Dojo par Maître Deshimaru
2. Tous les disciples doivent s’harmoniser comme le lait et le miel, créant
maintenant que des disciples, vous pourrez par la suite devenir maîtres
pour l’éternité. Mais pendant zazen, chacun de vous est semblable à
3. Dans ce dojo, soyez des amis spirituels pratiquant ensemble le précieux
ferveur est plus importante que tous les liens de la terre qui, eux, ne
sont pas éternels.
4. Les disciples anciens doivent enseigner avec douceur, sans esprit
5. Et suivre très exactement l’enseignement transmis, préservant comme
un trésor chaque règle du dojo. Ceux qui ne les suivent pas, le
responsable doit leur demander de partir.
6. Dans le dojo, on ne doit pas mal parler, ni discuter. Ne pas créer
essentiel de respecter chacun des autres pratiquants.
7. Revêtir des habits sombres n’attirant pas l’attention, si possible un
kimono. Enlever toutes les décorations : bijoux, foulards, etc.
8. Les personnes qui discutent ou se querellent, celles qui causent des
troubles, ne peuvent pas entrer dans le dojo. Pas plus que les
déséquilibrés mentaux ni les personnes sous l’emprise de drogues ou
d’alcool. Si cela se produit, le responsable doit leur demander de partir.
9. Une stricte morale sexuelle doit être observée dans les amitiés qui
se nouent au dojo.
10. Tout le monde doit arriver 10 mn avant l’heure du zazen.
11. Il est interdit d’emporter les zafus du dojo, de l’encens, ainsi que tout autre objet.
12. Après la fin du zazen et de la cérémonie, tout le monde doit sortir
13. Personne ne peut rester au dojo en dehors du temps de zazen sans
mercredi 25 mai 2011
Santal
Légère, une fumée bleutée commence à s'élever dans l'air. Elle forme de lentes volutes qui s'embrassent, se déprennent, de capricieuses arabesques, des cortèges de profils changeants, des noeuds qui se dénouent d'eux-mêmes.
La baguette de santal a pour page l'espace. Alors que jamais ne bouge sa plume de lumière, la phrase qu'elle trace n'est jamais la même. Vous regardez monter ces arborescences maniérées qui semblent enserrer d'invisibles colonnes d'air, ou comme les fins rinceaux de cornaline escaladent de leurs courses les neiges du Tâj-Mahal. Vous suivez l'évolution de ces flexibles déploiements, de ces subtils ballets de symboles. Et vous vous demandez quels peuvent être ces débris d'un mystère incohérent, dont vous ne saisissez pas l'évasive identité.
A peine une respiration plus forte, et toute l'architecture s'effare, se cabre, s'effondre, court se recomposer ailleurs. Vous regardez errer le rêve.
Pour peu que vous observiez encore, vous vous direz que tous ces gracieux accidents de fumée miment et dansent les pensées, les songeries de l'esprit, que la tige odoriférante ressemble à un stylet tranquille ciselant le vide déroulé devant lui, dessinant dans leurs plus précis frémissements les rivages découpés, les méandres de l'imaginaire ; mais qu'elle décrit aussi les fines métamorphoses du devenir humain, et que, s'attardant en nostalgies, passant par des phases d'exaltation et d'abattement, c'est votre vie qu'elle vous raconte.
Mais telle est bien aussi l'image du devenir universel. Car, tandis qu'elle se consume lentement, vous verrez la baguette inscrire les cycles de l'éternité, qui se développent, s'harmonisent, se défont aux angles du destin, se réinventent sans cesse sous l'immobile bourrasque de l'Esprit, renaissent de leur propre évanouissement.
Jusqu'au moment où, dans l'obscurité tombée, ne brille plus devant vous qu'une goutte de lumière imperceptible comme le trou d'une serrure donnant sur l'autre monde. Le dernier soupir du santal trace un point d'interrogation au-dessus d'une traînée de cendre, et la baguette s'éteint au même instant que s'achève la dissolution cosmique.
Il suffit d'en cueillir une autre pour y allumer un nouvel univers.
Jean Bies, écrivain et poète
lundi 23 mai 2011
La maison vide.
Shu Kai.
mercredi 18 mai 2011
Notre rapport au monde : suite.
dimanche 15 mai 2011
Notre rapport au monde : source de sens.
lundi 9 mai 2011
Le point de vue de notre ego.
Dans le Bouddhisme, nous disons que la vie et la mort sont l'apparition d'une pensée et la disparition de cette pensée. Apparaître et disparaître; des pensées viennent et vont.... Voilà ce que l'on appelle "la vie et la mort".
Une pensée apparaît, c'est ce que nous appelons "la vie". Une pensée disparaît, c'est ce que nous appelons "la mort". Cela signifie que nous naissons à chaque instant et que notre vie est sans cesse renouvelée.
Malheureusement, entre la vie et la mort, entre deux pensées, nous interposons notre ego. De cette manière, nous percevons à la fois la vie et la mort. Le point de vue de notre ego intervient pour que nous soyons contents de la vie et que nous haïssions la mort. C'est cela qui nous bouleverse.
Ce n'est rien d'autre que le point de vue de notre ego.
Sekkei Harade.